• Agissons pour la nature du Nouveau-Brunswick !

    Nous avons attendu plus d'un an depuisdes supporters de la SNAP ont fait part au gouvernement provincial de leurs commentaires sur une proposition pour de nouvelles aires naturelles protégées, qui représentent des forêts anciennes, des habitats sauvages vulnérables et des rivières sauvages situés dans tous les coins de la Nouveau-Brunswick.

    Plus d’une année s’est écoulée et la province n’a pas encore fait l’annonce de ce qui se produira avec ces aires proposées et pendant que nous attendons qu’une décision soit prise, les approbations de développement industriel avancent à grands pas.

    Nous avons besoin de votre aide pour nous aider à alimenter le feu, de façon à ce que ces aires protégées proposées ne soient pas éliminées du programme de la province. Veuillez prendre un moment immédiatement pour envoyer une lettre au ministre des Ressources naturelles, lui demandant l’état de ces demandes d’aires protégées proposées.

    Envoyer une lettre mainteant, ici: http://org.salsalabs.com/o/2463/p/dia/action3/common/public/?action_KEY=14747

    À l’heure actuelle, seulement 3 % de la superficie du Nouveau-Brunswick bénéficie d’une forme permanente de protection. Grâce à votre aide, nous pouvons remédier à cette situation.Agissez dès aujourd’hui !

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    Photo: R. Clowater/CPAWS NB - la rivière Restigouche

  • Espaces d'océan dans la baie de Fundy

    Comté de Charlotte
  • Groupes d'intendance

    À travers la province
  • Intendants de la Terre

    À travers la province

    Fondation pour la protection des sites naturels du Nouveau-Brunswick

    Le programme des Intendants de la Terre aide les gens qui veulent faire leur part pour améliorer les sites naturels du Nouveau-Brunswick. Information additionnelle.

    Ce projet est actif depuis 2014Fr Bi Coul Slog
  • La science citoyenne de la cour d’école à la protection des aires naturelles

    Zone naturelle protégée de la gorge de la rivière Jacquet Plan
  • Le Nouveau Brunswick est toujours traînard en matière de conservation - Le plan d'aménagement forestier des terres de la Couronne nuit encore

    (Fredericton) – Le Nouveau Brunswick est toujours traînard en matière de conservation - Le plan d'aménagement forestier des terres de la Couronne nuit encore.

    La Société pour la nature et les parcs du Canada, section Nouveau-Brunswick (SNAP NB), dit que le nouveau  plan d'aménagement forestier des terres de la Couronne, annoncé aujourd'hui par le ministre des ressources naturelles, est un pas en arrière pour la conservation.

    Roberta Clowater, directrice exécutive de la SNAP NB dit, « Le nouveau plan d'aménagement forestier des terres de la Couronne réduit la conservation globale des habitats fauniques et zones tampons riveraines. C'est troublant parce que nous savons que les scientifiques qui spécialisent dans la recherche des animaux sauvages pensent que les niveaux actuels de conservation risquent de ne pas pouvoir maintenir tous les types d'animaux sauvages indigènes dans la province. Aujourd’hui le gouvernement a approuvé  un plan pour aller encore plus loin de ce qui est nécessaire. C'est la mauvaise direction pour la conservation. »

    Clowater a dit, « Alors que le plan approuve une augmentation dans les aires protégées de 4 % des forêts de la Couronne à 8 % des forêts de la Couronne, ceci assurera la protection de seulement 4,5 % de la province. Ceci n’approche pas ce qui est nécessaire pour assurer la conservation de nos rivières, nos aires de nature sauvages et notre faune sensible. Le Nouveau-Brunswick possèdera toujours la plus petite proportion d’aires protégées au Canada, seulement au-dessus de l’Île-du-Prince-Édouard. De plus, les nouvelles aires protégées viendront de la vieille forêt actuellement conservée donc il y a effectivement une perte nette de conservation. »

    « Étant donné les préoccupations concernant le changement climatique et l'incertitude sur comment bien nous protégeons nos milieux sauvages et nos eaux, nous sommes très préoccupés par la décision de passer d'un plan de 5 ans à un plan de 10 ans. Nous croyons que c'est un geste risqué, qui nous offre des objectifs de conservation très limitées et ne fournit pas la flexibilité nécessaire pour améliorer la conservation pour une autre décennie. »

    « La SNAP NB apprécie que le ministre a pris le temps d'examiner le plan d’aménagement approuvé par le gouvernement précédent qui aurait sévèrement nuit à la conservation des terres publiques. Nous sommes heureux que le ministre a consulté avec la communauté environnementale et reconnu la valeur de la conservation de l'habitat dans ses décisions,» a souligné Clowater.

    La SNAP a recommandé qu'au moins 17 %  des terres de la Couronne (8,5 % de la province), y compris les plus importantes sections de forêt ancienne, soient désignées d'ici 2015 comme zones protégées permanentes sans exploitation forestière ou minière. Ceci nous rapprocherait au niveau des autres provinces, où le montant moyen des terres protégées est près de 9 %.

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    Contactez: Roberta Clowater – 506-452-9902; cpawsnb@nb.sympatico.ca

    Pour plus d’information sur la SNAP NB, SVP visitez lewww.cpawsnb.org

  • Le Nouveau-Brunswick est pressé(e) de s’engager à protéger de nouvelles aires d’ici 2020

    Dans son plus récent rapport sur l’état des aires protégées au Canada, la Société pour la nature et les parcs du Canada (SNAP) presse le/la Nouveau-Brunswick de redoubler d’efforts afin de protéger plus de terres d’ici 2020. Dans son rapport 2017, De retardataire à chef de file ? L’intérêt renouvelé du Canada pour la protection de la nature pourrait donner des résultats, la SNAP encourage les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux à déployer davantage d’efforts afin de protéger et conserver le patrimoine naturel du Canada et ainsi respecter notre engagement international.

    Avec à peine 10,6 % de son territoire actuellement protégé, le Canada se situe en-dessous de la moyenne mondiale de 15 %, et accuse de surcroît un retard face à d’autres grands pays tels que la Chine, le Brésil et l’Australie. En 2010, dans un effort mondial visant à contrer l’appauvrissement de la biodiversité, le Canada s’est engagé dans le cadre de la Convention des Nations Unies sur la diversité biologique à protéger au moins 17 % des terres et des eaux intérieures d’ici 2020, et à améliorer la qualité de ses réseaux d’aires protégées afin de mieux conserver la nature.

    Le rapport souligne que les gouvernements canadiens commencent tout juste à accorder une importance à cet engagement, après des années d’inaction. En février 2017, les ministres fédéraux, provinciaux et territoriaux responsables des parcs et des aires protégées ont rendu publique leur intention de travailler de concert afin d’atteindre cet objectif. Une nouvelle initiative, En route vers 2020, a été entamée, et un cercle d’experts autochtones ainsi qu’un groupe consultatif national ont été désignés pour conseiller les ministres dans ce dossier.

    « Au Nouveau-Brunswick, nous avons remarqué absence de progrès sur des sites naturelles, comme la Restigouche, déclare Roberta Clowater, Directrice Générale, SNAP N-B . La province peut prendre des mesures immédiates pour aider le Canada à atteindre nos objectifs, incluant préparer un plan d’action pour 2020 et au-delà dans une optique d’élargir le réseau d’aires protégées du Nouveau-Brunswick et de protéger ce qu’il reste des forêts anciennes, des milieux humides importants, des rivières, des lacs et des côtes spectaculaires. »

    « Il ne reste que trois ans avant d’atteindre notre objectif pour 2020, il faut que l’on s’attèle à la tâche dès aujourd’hui, ajoute Hébert-Daly. Dans le rapport, nous identifions des endroits au Canada où une quantité de travail importante a déjà été accomplie pour proposer des aires protégées. En agissant dès maintenant pour protéger ces aires de façon permanente tout en établissant un plan d’action pour assurer la conservation à long terme, nous pouvons passer de retardataire à chef de file. »

    Clowater ajoute, « À court terme, le Nouveau-Brunswick pourrait protéger l’une des rivières les plus majestueuses mais aussi l’une des plus menacées de l’est du Canada : la rivière Restigouche, qui chevauche la limite entre le nord-ouest du Nouveau-Brunswick. Le gouvernement pourrait établir un zone protégée la voie navigable en région sauvage de la Restigouche – qui serait un vaste corridor protégé le long de la rivière aménagé sur les terres publiques – et, du même coup, se doter d’une destination touristique de calibre mondial. »

    Les aires protégées sont essentielles à la conservation des espèces sauvages et de la nature en plus de fournir à tous les Canadiens et Canadiennes de l’air et de l’eau propres, de séquestrer le carbone et de jouer un rôle crucial dans l’amélioration de la santé et du bien-être. Elles sont en outre viables sur le plan économique. À l’échelle de la planète, par année les aires protégées génèrent 600 milliards de dollars US en dépenses directes, alors qu’il en coute moins de 10 milliards de dollars US pour les créer et les entretenir.

    Depuis plus de 50 ans, la SNAP collabore avec tous les paliers de gouvernement et des partenaires nationaux dans le but de protéger plus de régions sauvages au Canada. En tant qu’unique organisme à but non lucratif dédié à la protection des terres et des eaux publiques, nous sommes dans une position exceptionnelle pour aider les gouvernements à déterminer les mesures de conservation nécessaires. Fredericton, le 24 juillet 2017 – Dans son plus récent rapport sur l’état des aires protégées au Canada, la Société pour la nature et les parcs du Canada (SNAP) presse le/la Nouveau-Brunswick de redoubler d’efforts afin de protéger plus de terres d’ici 2020. Dans son rapport 2017, De retardataire à chef de file ? L’intérêt renouvelé du Canada pour la protection de la nature pourrait donner des résultats, la SNAP encourage les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux à déployer davantage d’efforts afin de protéger et conserver le patrimoine naturel du Canada et ainsi respecter notre engagement international.  

    Avec à peine 10,6 % de son territoire actuellement protégé, le Canada se situe en-dessous de la moyenne mondiale de 15 %, et accuse de surcroît un retard face à d’autres grands pays tels que la Chine, le Brésil et l’Australie. En 2010, dans un effort mondial visant à contrer l’appauvrissement de la biodiversité, le Canada s’est engagé dans le cadre de la Convention des Nations Unies sur la diversité biologique à protéger au moins 17 % des terres et des eaux intérieures d’ici 2020, et à améliorer la qualité de ses réseaux d’aires protégées afin de mieux conserver la nature.

    Le rapport souligne que les gouvernements canadiens commencent tout juste à accorder une importance à cet engagement, après des années d’inaction. En février 2017, les ministres fédéraux, provinciaux et territoriaux responsables des parcs et des aires protégées ont rendu publique leur intention de travailler de concert afin d’atteindre cet objectif. Une nouvelle initiative, En route vers 2020, a été entamée, et un cercle d’experts autochtones ainsi qu’un groupe consultatif national ont été désignés pour conseiller les ministres dans ce dossier.

    « Au Nouveau-Brunswick, nous avons remarqué absence de progrès sur des sites naturelles, comme la Restigouche, déclare  Roberta Clowater, Directrice Générale, SNAP N-B .  La province peut prendre des mesures immédiates pour aider le Canada à atteindre nos objectifs, incluant préparer un plan d’action pour 2020 et au-delà dans une optique d’élargir le réseau d’aires protégées du Nouveau-Brunswick et de protéger ce qu’il reste des forêts anciennes, des milieux humides importants, des rivières, des lacs et des côtes spectaculaires. »

     « Il ne reste que trois ans avant d’atteindre notre objectif pour 2020, il faut que l’on s’attèle à la tâche dès aujourd’hui, ajoute Hébert-Daly. Dans le rapport, nous identifions des endroits au Canada où une quantité de travail importante a déjà été accomplie pour proposer des aires protégées. En agissant dès maintenant pour protéger ces aires de façon permanente tout en établissant un plan d’action pour assurer la conservation à long terme, nous pouvons passer de retardataire à chef de file. »   

    Clowater ajoute, « À court terme, le Nouveau-Brunswick pourrait protéger l’une des rivières les plus majestueuses mais aussi l’une des plus menacées de l’est du Canada : la rivière Restigouche, qui chevauche la limite entre le nord-ouest du Nouveau-Brunswick. Le gouvernement pourrait établir un zone protégée la voie navigable en région sauvage de la Restigouche – qui serait un vaste corridor protégé le long de la rivière aménagé sur les terres publiques – et, du même coup, se doter d’une destination touristique de calibre mondial. »

    Les aires protégées sont essentielles à la conservation des espèces sauvages et de la nature en plus de fournir à tous les Canadiens et Canadiennes de l’air et de l’eau propres, de séquestrer le carbone et de jouer un rôle crucial dans l’amélioration de la santé et du bien-être. Elles sont en outre viables sur le plan économique. À l’échelle de la planète, par année les aires protégées génèrent 600 milliards de dollars US en dépenses directes, alors qu’il en coute moins de 10 milliards de dollars US pour les créer et les entretenir.

    Depuis plus de 50 ans, la SNAP collabore avec tous les paliers de gouvernement et des partenaires nationaux dans le but de protéger plus de régions sauvages au Canada. En tant qu’unique organisme à but non lucratif dédié à la protection des terres et des eaux publiques, nous sommes dans une position exceptionnelle pour aider les gouvernements à déterminer les mesures de conservation nécessaires.

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    Lire le rapport intégral.
    NB Needs to Act Protect Restigouche Wilderness Waterway2
    Pour les entrevues, contacter Karen Turner au (613) 569-7226 x 232.
  • Message de plus de 10 000 personnes à l’intention du Premier minister Alward : Protégez la zone de nature sauvage de la Restigouche !

    (Fredericton) – Le 16 février, Roberta Clowater, Directrice générale de la section néo-brunswickoise de la SNAP, présenté une liste de noms au Premier ministre Alward, à l’Edifice du Centenaire ; une liste des noms de plus de 10 000 Canadiens et Canadiennes qui lui demandent de protéger au moins 10 % du dernier plus grand bassin versant sauvage de la province.

    La présentation de ce message de la SNAP aura lieu juste avant, et pour coïncider avec, l’aboutissement d’un nouveau plan pour les terres publiques (de la Couronne) par le Ministère des Ressources Naturelles du Nouveau-Brunswick.

    « Ce fut une inspiration pour nous de voir tant de personnes – surtout des Néo-Brunswickois et des Québécois – qui ont à coeur la protection de cette aire sauvage extraordinaire dans la Restigouche, et qui veulent s’assurer que ces valeurs soient protégées, » déclarait Clowater.

    La SNAP a fait valoir à la population que c’était l’occasion de protéger la Restigouche – fameuse pour ses rivières de saumon sauvage, ses montagnes de forêts brumeuses et sa faune sauvage – par l’entremise des médias sociaux, tel que Facebook, et en partenariat avec Mountain Equipment Co-op.

    « Le nombre de personnes qui ont répondu à l’appel renforce réellement notre message au Premier ministre Alward que la province doit passer à l’action dès maintenant pour protéger plus de nos zones sauvages, surtout celle de la Restigouche. Nous avons tâté le pouls de l’inquiétude du public vis à vis l’avenir des merveilleuses aires sauvages de notre province – et maintenant nous demandons au gouvernement de passer à l’action, » expliquait Clowater.

    « Il est inadmissible que le Nouveau-Brunswick se classe avant-dernier au Canada dans le pourcentage d’aires protégées, comparé aux autres provinces et territoires. On ne fait pas notre part égale pour protéger les zones sauvages et la vie sauvage, ainsi que les emplois importants en loisirs et en tourisme qu’elles soutiennent au Nouveau-Brunswick, » ajoutait Clowater.

    « Afin que le Nouveau-Brunswick s’approche de la moyenne canadienne, le gouvernement doit s’engager à protéger tout au moins 17 % des terres publiques (de la Couronne) de la province d’ici 2015, ce qui représenterait 8,5 % de la province. Ceci ferait en sorte que les sections les plus sauvages de la Restigouche et de la province soient protégées de manière permanente contre le développement et l’activité industrielle. »

    Présentement, seulement 3 % du Nouveau-Brunswick est protégé d’une manière permanente, comparé à presque 9 % des terres dans les autres provinces. La Nouvelle-Écosse s’est fixée une cible de 12 % de l’ensemble de la province d’ici 2015 et elle est bien en avant du Nouveau-Brunswick dans l’atteinte de son objectif.

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    Contactez: Roberta Clowater – 506-452-9902; cpawsnb@nb.sympatico.ca

    Pour plus d’information sur la SNAP ou sur la campagne pour la protection de la Restigouche, visitez lehttp://restigouchesauvage.ca ou www. cpawsnb.org

  • N.-B. au grand air

    À travers la province
  • Nettoyons notre verdure

    Saint John
  • Protéger davantage la nature au Nouveau-Brunswick!

    Nature Legacy PA Annoucment Twitter

    Depuis 2019, le Nouveau-Brunswick a entrepris la plus forte augmentation de protection des terres de toute
    son histoire, promettant de désigner 10 % des terres publiques en tant qu’aires protégées.

    Ce mois-ci, le gouvernement du Nouveau-Brunswick a annoncé la désignation de près de 100 000 hectares
    de nouvelles aires protégées. Voilà une autre étape vers l’atteinte de son objectif de 10 %. La SNAP NB
    continue d’encourager le gouvernement à tenir sa promesse et à donner la priorité à la protection de la nature,
    ainsi qu’à son engagement de collaborer avec les nations autochtones afin de tracer la voie des futures
    mesures de conservation.

    Cliquez ici pour envoyer une lettre au gouvernement afin de le remercier d’avoir pris cette mesure et de
    l’encourager à poursuivre sur sa lancée!

 © 2018 NBEN / RENB